4 QUESTIONS À…LA GREENER FAMILY

Aujourd’hui je vous présente une famille

qui se sensibilise aux gestes éco-citoyens et qui cherche à réduire son empreinte sur l’environnement par la réduction de ses déchets, la recherche d’économie d’énergie, de l’anti-gaspi …

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La Greener Family c’est la maman, Carole (38 ans), le papa, Julien, (40 ans) et leurs enfants de 7 et 5 an et elle s’est lancée le défi de devenir une famille plus saine dans 365 jours et de partager leurs expériences, leurs réussites, leurs difficultés etc. sur un blog.

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J’ai posé quatre questions à Carole et Julien:

  1. Quel était le moment (événement) déclencheur de votre démarche?
    Julien: Carole m’a présenté la démarche suite à sa motivation personnelle de réduire nos déchets en février 2015, de mettre en place des actions écoresponsables dans la continuité de notre engagement entamé à la naissance de notre fille en 2008. Cela faisait suite à la lecture du livre de Béa Johnson. Alors que Carole me présentait le livre, je lisais le sous-titre « Comment j’ai fait 40% d’économie ! ». J’ai dit « chiche » ! Depuis nous écrivons notre blog à 4 mains pour raconter notre démarche du Zéro Déchet à l’écofrugalité.
  2. Quelle était l’habitude la plus difficile à changer?
    Carole:  Me concernant, mes visites à l’hypermarché reste un passage obligé pour quelques produits. Le plus dure, résister à la tentation !
  3.  Comment est-ce que votre démarche est considéré par vos parents?
    Nos familles sont plutôt curieuses, voire moqueuses parfois. Toutefois, les repas de famille sont l’occasion d’échanger sur notre démarche, notre blog, nos conférences et nous commençons à voir quelques remarques qui montrent que nous les interpellons 🙂
  4.  Comment les enfants s’habituent à votre style de vie?
    Ils s’habituent très bien et très vite. Ce sont les premiers à traquer le moindre déchet et vont même jusque les ramasser dans notre village pour le nettoyer ! Lors des achats, ils sont aussi à l’écoute de nos commentaires sur les emballages et les raisons de nos choix. Quant à l’alimentation, ils sont ravis d’avoir des goûters fait maison ou acheté en vrac et des jus d’orange frais.

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LES CHIFFONNIERS, GLANEURS NOCTURNES

La chanson de la hotte

Les chiffonniers, glaneurs nocturnes,
Tristes vaincus de maints combats,
Vers minuit quittant leurs grabats,
Dans l’ombre rôdent taciturnes.

La Hotte sur leurs reins courbés
Se dresse altière et triomphante ;
Voici ce que cet osier chante
Sur ces échines de tombés :

« Moi, la Hotte nauséabonde,
Épave où vivent cramponnés
Les parias et les damnés,
L’écume et le rebut du monde,

Fosse commune à tous débris,
Où ce qui fut Hier s’entasse,
En juge, chaque nuit, je passe,
Fatal arbitre du mépris.

À la lueur de sa lanterne,
Mon compagnon qui fouille au tas
Ramasse tout : chiffons, damas,
Sans que sourcille son œil terne ;

Tout ! auréoles de clinquant,
L’honneur vendu, des ailes d’ange ;
On trouve en remuant la fange
Les vertus mises à l’encan ;

Fausses grandeurs, fausses merveilles,
Et tant d’autres choses encor ;
Vieux satin blanc aux trois lis d’or,
Velours vert parsemé d’abeilles.

Dernier et fatal ricochet,
Tout va, tôt ou tard, à la hotte
Du chiffonnier qui dans la crotte
Fouille du bout de son crochet. »

Charles Burdin, Heures noires, Paris : Librairie des bibliophiles, 1876

J’ai trouvé cette chanson tout comme une mine d’informations sur le métier des chiffonniers sur le site du MHEU (Musée historique d’environnement urbain) un fabuleux musée virtuel.

Parmi les informations que j’ai glané sur ce site, il y a aussi des informations sur la plaque que les chiffonniers devaient porter en tant qu’insigne de leur profession. Depuis 1828 ce métier était règlementé par une ordonnance royale et le Préfet de police obligé de délivrer cette « médaille » aux biffins. Autres insignes de leur métier furent un petit balai pour remettre de l’ordre après avoir fouillé un tas d’ordures ainsi qu’une lanterne.

Pour son exposition sur l’économie des ordures (inauguration en mars 2017), le MuCEM a acquis une telle plaque.

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Elle appartenait à un dénommé L.F. Soudé et porte son nom et son numéro d’immatriculation sur une face. Sur l’autre, sont marqués l’année de l’attribution (1850) et des informations sur sa personne et sa physionomie: son âge (50 ans), sa taille (1m64cm), ses cheveux (gris blancs), son front (moyen), ses sourcils (châtaigne), ses yeux (bruns), son nez (moyen), sa bouche (moyenne), sa barbe (grise), son menton (rond) et son visage (ovale). Sans photo, la description donne un aperçu assez clair du porteur de la plaque.

Les plaques – et ainsi l’accès au métier – étaient d’abord accordés aux anciens forçats et repris de justice (ce qui est pour quelque chose dans la mauvaise réputation de la profession) ensuite aux vieillards, aux estropiés, et à tous ceux qui en font la demande quel que soit leur âge.

 

J -2

Encore deux jours pour se ruer sur des sacs en plastique avant qu’ils seront voués à disparaître. Vraiment? Pas si sûr que ça…

Il était une fois une loi avec un beau titre bien ronflant, la « loi relative à la transition énergétique et à la croissance verte » qui a donné naissance le 30 mars 2016 à un petit décret. Et qu’est ce qu’il prévoit ce petit décret? Rien de moins que la fin, la mort, la disparition des sacs plastiques non réutilisables!

D’abord c’est fini avec la mise à disposition des sacs de caisse, ces poignées de sacs généreusement offertes par les gentilles caissières et avidement empochées par pas mal de CONsommateurs. Interdit désormais le vilain sac d’une épaisseur de moins de 50 micromètres (µm), peu importe qu’il soit gratuit ou payant.

Les prochains sur la liste des futurs disparus sont à partir du 1er janvier 2017 les sacs d’emballage que l’on trouve dans des rayons fruits et légumes, chez fromagers ou bouchers.

Mais pour permettre quand même au pauvre consommateur qui n’a toujours pas compris qu’il devrait mettre un filet dans son sac à main, se munir d’un cabas, couffin ou autre panier à remplir son frigo, voilà ce que l’on lui propose comme trouvaille: à coté de sacs en papier, carton ou tissu, des sacs compostables d’une épaisseur supérieure à 50 µm constitués pour tout ou en partie de matières biosourcées (!). La teneur minimum en cette fameuse « matière biosourcée » doit s’élever au début à 30% pour arriver en 2025 à 60% .

Biosourcé… Joli nom pour un concept qui marche sur la tête! Car sac en matière biosourcé veut dire que l’on utilise pour sa fabrication du végétal: pommes de terre, maïs, canne de sucre, manioc… C’est bien! Dans un monde qui a déjà du mal à nourrir une population de plus en plus nombreux on va accaparer des terres agricoles pour faire pousser des plantes pour en fabriquer des sacs jetables!! C’est aussi débile (pardon!) comme l’idée du biocarburant. On va laisser crever des gens de faim pour que les nantis peuvent emporter leurs emplettes dans des sacs en « matière biosourcée » et rouler dans une bagnole qui carbure au biodiesel…

Est-ce qu’il faut rire ou pleurer de ces « innovations »??

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MÂNORE + ANDOVAST

= MÂNDOVASTE ou « fait main » en roumain et en romani.

L’atelier mândovaste est un beau projet destiné à donner à des femmes rom la possibilité de créer une activité et avoir des revenus pour améliorer leur vie voire de sortir de leur bidonville à Montreuil, en banlieue parisienne. C’est un moyen pour elles de s’émanciper et de prendre leur destin en main mais aussi de développer leur créativité et d’acquérir des compétences.

Sept femmes se sont regroupées après avoir suivi des ateliers proposés en 2015 par le collectif Cochenko (qui malheureusement n’existe plus) avec l’envie de produire localement de beaux objets et accessoires à partir de matériaux de récupération par des procédés low-tech. Elles ont aussi appris à prendre des décisions toutes ensemble, de développer des produits elles mêmes et de commercialiser leurs réalisations. C’est justement ce que le terme – intraduisible – « d’empowerment » veut dire: prendre le pouvoir sur sa propre vie, avoir confiance en ses compétences, ne pas seulement répondre à des incitations mais proposer et décider soi-même.

L’atelier Mândovaste produit des objets pour la maison et le voyage en utilisant des matières premières issus du recyclage (tissus, chiffons, sacs plastiques…) en ajoutant un savoir faire traditionnel – broderie, crochet, couture – inspiré par l’imagerie folklorique des Balkans.

Une première commande de la marque très chic et fashion Facteur Céleste est une belle récompense pour ces femmes.

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FRUITS SECS

Les Américains et les Anglais demandent des Fruit Roll-Ups, les Russes adorent les Levashi tandis que les Libanais craquent pour les Armadeen et les Iraniens pour les Lavashak, même les Chinois  raffolent de Shan zha pian…. Bientôt ce sera aux Français de se gaver des Fwees!

Ils peuvent dire merci à une jeune femme, Soizic Ozbolt. Travaillant dans une ONG humanitaire au Moyen Orient, elle a découvert une technique ancestrale pour préserver des fruits: on réduit en purée abricots, prunes, coings, pommes ou autres fruits, puis cette pâte est étalée et séchée – autrefois sur des draps en plein soleil, aujourd’hui dans un déshydrateur professionnel pour obtenir ce que l’on appelle le « cuir de fruit ». Cette technique très simple permettait, surtout autrefois, une longue conservation et la possibilité de manger des fruits toute l’année. Rien n’est ajouté, pas de sucre, pas de colorant, rien que du fruit.

Soizic approvisionne chez des producteurs bio ou en agriculture raisonnée qui peuvent ainsi écouler leur trop plein de fruits qu’ils n’ont pas pu vendre ailleurs et qui sont mûrs et ne peuvent pas être gardés. D’une pierre trois coups alors: moins de gaspillage (45%  des fruits et légumes se perdent!), des revenues supplémentaires pour les petits agriculteurs et une gourmandise 100% naturel.

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Grâce à un financement sur KissKissBankBank, la petite entreprise a pu s’équiper mieux et mettre sur pied un atelier itinérant de transformation qui peut se déplacer directement chez les producteurs car la matière première est fragile.

Il sera installé dans un semi-remorque, amené derrière chez l’agriculteur. Cela permet au producteur de ne pas se soucier de la logistique. Avec la loi biodéchets, cela lui évite d’avoir à prendre en charge le coût d’enlèvement, etc.

La production de Soizic a augmenté de 30 kg à 200 kg de fruits par jour – il faut environ 9 kg de fruits frais pour fabriquer 1 kg de Fwee – et elle envisage même un élargissement de la gamme en travaillant des noix et des herbes aromatiques.

Si vous voulez en savoir plus – et commander quelques gourmandises fruitées, c’est ici: Fwee

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PARCE QU’ILS LE VALENT BIEN

Non, l’Oréal n’a rien à faire avec ce qui suivra. Tant pis pour la multinationale qui ne sait pas ce qu’elle rate!

Je souhaite vous parler ici d’une école de la deuxième chance, le PIL – Pôle Innovant Lycéen de l’Académie de Paris. Ici on accueille des jeunes en rupture scolaire (collège/lycée)  qui souhaitent quand même reprendre leurs études. On leur propose une approche nouvelle, on implique les parents, on adapte l’enseignement à leurs intérêts et projets.

Une de ces écoles est le lycée de la Solidarité Internationale qui ouvre ses portes aux élèves qui manifestent un intérêt pour la découverte d’autres cultures, l’aide aux autres, ainsi qu’au développement durable. Pendant une année ils participent aux activités pédagogiques, réfléchissent à leur futur projet de formation et d’orientation (filières générales, technologiques) ou d’insertion dans la vie active.

Pour inciter les élèves à renouer avec une scolarité qui les intéresse, ce lycée propose une année centrée sur la solidarité internationale, autour de la découverte (théorique et pratique) des problèmes de développement, l’engagement dans un collectif solidaire, la construction d’un projet personnel.

Par l’étude et la réalisation d’actions dans le domaine des énergies renouvelables et de l’accès à l’eau, les élèves reprennent un ensemble d’activités intellectuelles. Les savoirs théoriques sont appliqués lors d’actions associatives, de rencontres, et donnent lieu à un stage de solidarité internationale à l’étranger avec une ONG. Par la construction d’un collectif qui se prend en charge pour la vie au lycée comme pour les actions extérieures, les élèves renouent avec une « utilité sociale » et une valorisation de leurs études. Ces actions permettent de tester et de définir un projet de formation ou de poursuite d’études vers lequel l’équipe accompagne chaque élève.

Après une matinée consacrée aux cours, l’après midi les jeunes se retrouvent dans un atelier où, accompagnés par le collectif Beauty Garage, ils apprennent à valoriser les déchets, les recyclent, les réparent. Dans cette Recyclerie scolaire où l’on peut déposer des objets dont on ne se sert plus, les jeunes apprennent à désosser un ordinateur pour récupérer les pièces, à construire un décor à partir de planches et bois récupérés, à retaper des meubles ou à réparer des vélos. Les objets sont ensuite vendus à des prix modiques pour récolter de l’argent pour des projets solidaires. Actuellement un projet est en route pour aller au Maroc et y réparer le mobilier d’une école.

« On se donne à 100% pour financer ce projet. On va rendre ces collégiens heureux en changeant leur matériel ! », se réjouit Maguirassy.

C’est motivant et gratifiant, ça donne envie de s’investir, ça aide des jeunes à (re)trouver leur voie.

« Je ne compte pas aller vers un métier manuel mais ce lycée m’a donné la force de reprendre les cours. L’an prochain, j’aimerais faire une seconde professionnelle « gestion et administration »« , dit Maguirassy, les pieds dans la sciure.

Quelle belle initiative, porteuse d’espoir pour des jeunes en difficulté!

Pour en savoir plus: un article sur Yess et le site du PIL

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MOUANS-SARTOUX ET LA BONNE GESTION

Eh oui, on peut si l’on veut! Gérée entre 1974 et 2015 (41 ans!!) par André Aschieri – Verts puis EELV – et depuis 2015 par son fils Pierre, la petite commune entre Cannes et Grasse, a su prendre les bonnes décisions au fil des années. Ainsi tous les services publics sont gérés en régie municipale directe: eaux, assainissement, pompes funèbres, ramassage d’ordures, transports et cantines scolaires.

Dans cette région où chaque mètre carré vaut des fortunes, la Mairie a acheté 4 ha en les préemptant à un promoteur pour y planter des légumes bio pour ses cantines scolaires. Depuis 2012 Mouans-Sartoux est la seule ville de France avec des cantines 100% bio (il faudrait peut-être inviter les sénateurs qui ont voté contre l’objectif de 20% bio…)

Mais la Mairie n’a pas seulement instauré le bio dans les cantines mais s’est aussi attelé à diminuer significativement le gaspillage. En 5 ans elle est arrivée à diminuer de 80% les déchets alimentaires dans la restauration  collective – une économie de 20 cents par repas distribué.

Comment les responsables ont-ils procédé? D’abord par – ce qui relèvent du bon sens – en adaptant les portions. Un petiot de maternelle ne mange pas autant qu’un plus grand, cela semble évident! Ensuite les enfants peuvent choisir leur portion – pas tout le monde a toujours le même appétit – mais chacun peut se resservir autant qu’il le veut si c’est particulièrement bon ou que le creux est très gros ce jour là. Une partie des repas est d’ailleurs préparé à fur et à mesure pour éviter de se trouver avec de trop grandes quantités à la fin du service. Les fruits sont proposés en quartiers et les enfants se servent à volonté. Comme c’est la ville via sa régie qui fournit les cantines, les menues sont établis selon la maturité des légumes. Épluchures, feuilles etc. alimentent un lombricomposteur.

Une fois tout le monde rassasié, on pèse les déchets: 3-5 kg pour les 240 enfants contre 25 kg avant.

Alors qui peut encore dire que c’est trop compliqué? top couteux? trop utopiste?


<p><a href= »https://vimeo.com/160240607″>Le plan anti-gaspillage de l'&eacute;cole Fran&ccedil;ois-Jacob &agrave; Mouans-Sartoux</a> from <a href= »https://vimeo.com/user20285862″>Groupe Nice-Matin</a> on <a href= »https://vimeo.com »>Vimeo</a&gt;.</p>

 

WASTE SIDE STORY

14 milliards d’euro coûte chaque année le traitement de nos déchets…. On n’a rien de mieux à faire avec cet argent??

PIPI CACA

Désolée, j’espère que vous ne lisez pas ce poste en mangeant – quoi que… tout ce recycle!

27 litres d’eau, c’est à dire 20% de notre consommation globale quotidienne utilise en moyenne chacun d’entre nous en actionnant la chasse. De l’eau potable en plus! 59% des cours d’eau en France sont pollués, la sécheresse frappe de plus en plus fort et de plus en plus souvent… ceci a commencé à turlupiner deux jeunes montpelliérains, Benjamin et Bernard, son ami d’enfance. Ils ont donc imaginé un système circulaire et anti-gaspillage et créé la SCOP Ecosec qui rassemble aujourd’hui 5 jeunes gens motivés.

« Nous sommes partis du principe que la sciure ne marcherait pas en ville. Il fallait proposer un système simple et sans contrainte pour l’utilisateur », explique Charles, membre de la scop. Dans leurs toilettes : rien ne change donc. On entre, on officie, on « tire la chasse », sans eau, en appuyant sur une pédale qui anime un tapis roulant. Incliné celui-ci sépare l’urine (qui descend) du reste (qui monte).

Ces deux éléments sont ensuite récupérés pour être transformés en composte. L’urine par exemple qui contient du phosphate et de l’azote représente un nutriment précieux pour la croissance des végétaux. Au lieu de produire donc de l’engrais à partir de matières extraites du sol (dont le phosphate qui n’est pas renouvelable) dans des pays lointaines et ensuite l’acheminer jusqu’à nos campagnes, on peut en produire tous les jours nous mêmes tout naturellement! La valeur des urines français représente l’équivalent de 70 million d’euros par an dépensés pour acheter des engrais « industriels ».

Ecosec propose donc des toilettes publics, joliment conçues, équipées de panneaux solaires pour être autonomes et facilement démontables. Pour l’entretien la SCOP cherche la collaboration avec des associations qui s’occupent de personnes en réinsertion dont le boulot consistera à veiller au bon fonctionnement des cabines et à sensibiliser le public. Les WC,  faciles à utiliser de façon pérenne en ville sont aussi parfaitement adaptés pour des festivals, événements, paillotes éphémères etc. Ils faisaient évidemment aussi partie de la COP21!

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Pas de gaspillage d’eau, être autosuffisant en énergie, retourner les nutriments à la terre – difficile d’être plus complet. Bravo, les jeunes!!

ADOPTEZ UN GOBI

On continue nos emplettes pour Noël et cette fois-ci la Mère Noël a déniché pour

  • les assoifés
  • les randonneurs et randonneuses
  • les sportifs
  • les familles avec enfants
  • les adeptes de pique-niques
  • les amateurs d’une bonne gorgée d’eau

LE GOBI AVEC SON TOTE (SAC)

Chaque Français consomme en moyenne 70 bouteilles d’eau de petit format par an pour un coût d’environ 100 euros. Alors fini l’achat de bouteilles d’eau en plastique qui polluent terre et mer, à partir de maintenant chacun aura sa gourde à lui, le fameux Gobi!

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Le Gobi – en Tritan sans BPA (bisphénol A) – est entièrement fabriqué en France entre la Bourgogne, l’Ile de France, la Haute Vienne, le 20e arrondissement de Paris et le Val de Marne où l’assemblage est fait par des membres d’un ESAT (Établissement et Service d’Aide par le Travail). Haut de 18 cm, il pèse seulement 200g et peut contenir 40cl – idéal donc pour le mettre dans votre sac!

La base colorée (appelé « tag ») existe en plusieurs couleurs et peut facilement être changée pour s’accorder à votre tenue et une petite « vitrine » permet d’insérer un gobicarte ou la photo de votre chéri, votre bébé, votre chat, chien ou perroquet.

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Plutôt que recycler les déchets, la société productrice des Gobi s’inscrit dans une politique de  leur évitement. Si vous aussi vous souhaitez diminuer les déchets, commandez votre/vos gobi/s ici.

  • Gobi Pack (2 Gobis + sac) – 38 euro
  • Gobi seul à partir de 15 euros